La Société suit les règles applicables en matière de bonne gouvernance et s’est assurée de maintenir, au sein de son conseil d’administration et de ses divers comités, un nombre suffisant et la participation active d’administrateurs indépendants d’expérience.
La Société, par le biais de son conseil d’administration, ses administrateurs indépendants et ses dirigeants, a toujours agi dans le meilleur intérêt de la Société et de tous ses actionnaires. Lors de la dernière assemblée des actionnaires qui s’est tenue le 26 juin 2020, les administrateurs ont été réélus avec plus de 97,6 % des voix exprimées.
Tous les financements complétés par la Société depuis l’arrivée au sein de son administration de la famille Cohen en 2013 se sont faits conformément avec la réglementation en matière de valeurs mobilières et de façon respectueuse des minoritaires. Entre autres, tout élément important qui devait être porté à l’attention des actionnaires a été divulgué en temps opportun et de façon complète sans aucune objection, à l’époque de la part des actionnaires.
La Société considère que la rémunération de l’équipe de direction de la Société est comparable à celle d’entreprises de taille et d’envergure similaires. D’ailleurs, au cours de l’exercice 2019, en plus des analyses réalisées par ses administrateurs indépendants, la Société a fait appel à une société spécialisée indépendante afin de procéder à une analyse des pratiques de rémunération de la Société. Celle-ci a conclu que la rémunération était conforme aux normes du secteur.
Robex souligne qu’elle a été en mesure de compter sur du financement de la famille Cohen à des moments critiques pour lui permettre de poursuivre ses activités, même lorsque le prix de l’or connaissait des creux historiques au cours des dix dernières années et que les marchés boursiers étaient défavorables au secteur minier en général.
Rappelons également que, au départ, la mine de Nampala au Mali, qui constitue le principal élément d’actif de la Société, était considérée comme un gisement de qualité et de quantité insuffisantes et de très faible teneur, doté d’installations sommaires, comptant des besoins de financement élevés, et que le Mali était un pays en guerre, fragilisé par des tensions politiques puis par une émergence d’Ebola.
Depuis, la mine de Nampala est passée du stade de l’exploration à l’exploitation, elle opère maintenant de façon rentable et ses coûts d’exploitation sont parmi les plus compétitifs au monde.
Le travail et les efforts de la Société ont eu pour effet de créer de la valeur pour l’ensemble des actionnaires. D’ailleurs, depuis le début de l’année 2020, la Société a déclaré le versement de dividendes de 0,06 $ l’action, ce qui représente un rendement en dividendes de 12 % sur le cours de l’action en date du 24 septembre 2020, d’une valeur de 0,50 $, alors que la valeur de l’action était de 0,15 $ au 3 janvier 2020.
Après avoir investi plus de 70 M$ dans le développement et la mise en exploitation de la mine Nampala dans des conditions favorables pour la Société, la Société a depuis procédé au remboursement presque total de ses dettes et c’est aujourd’hui l’une des opérations dont la gestion est dans les plus saines de l’industrie.
La Société n’a pas l’intention de commenter davantage les procédures judiciaires en cours.